La Villa Domergue

 

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Oeuvres 1968 - 1995



Odette et Jean-Gabriel Domergue dans leur somptueuse demeure firent de Cannes la capitale d’un certain art de vivre. La villa nommée Fiesole, sera dessinée en 1929 par Jean-Gabriel avec la collaboration d'Odette. Élaborée avec des matériaux prélevés sur le terrain, la construction de cet édifice reste un des rares exemples architecturaux de l’entre-deux guerre.

Créée dans une période d’aisance, et selon l’inspiration des domaines étrusques qui dominent Florence, la villa se propose comme un écrin dans le paysage cannois. S’inspirant des cascades de la villa d’Este, le parc est peuplé de bustes à l’antique et d’objets créés par Odette Domergue. Le sculpteur s’associe aujourd’hui, par son œuvre, au renouveau de l’art décoratif du 20ème siècle. De nombreuses vasques de céramique et de bronze, récoltées par le couple lors de nombreux voyages en méditerranée, ornent les massifs fleuris, qui font de ce lieu un univers exceptionnel et magique.

Jean-Gabriel Domergue est né à Bordeaux en 1889. La carrière du peintre débute à Paris dès 1906. En 1920, c'est la célébrité. Sa recherche est alors sous l’influence de Toulouse-Lautrec, Degas et Boldini. Dans cette période le tableau nous révèle un univers intimiste, où la femme est le sujet principal. Représentée parfois à demi-nue, elle s’offre au regard dans une attitude théâtrale qui libère sa beauté comme une lumière. Des effets picturaux issus de l’Impressionnisme accompagnent le cadrage d’une composition frontale et singulière.

Dans les années 30, Jean-Gabriel Domergue séduit un nouveau public par des portraits féminins malicieux et dénudés, le modèle apparaît jeune et svelte ; ce type de la femme idéale qu’il appelait « la Parisienne » attira vers lui toute l’aristocratie et toutes les personnalités célèbres qui voulaient posséder leur portrait dans l’idéal du siècle. En 1950, le peintre est nommé membre de l’Institut de France.  

Dans les années 30, Jean-Gabriel Domergue séduit un nouveau public par des portraits féminins malicieux et dénudés, le modèle apparaît jeune et svelte ; ce type de la femme idéale qu’il appelait « la Parisienne » attira vers lui toute l’aristocratie et toutes les personnalités célèbres qui voulaient posséder leur portrait dans l’idéal du siècle. En 1950, le peintre est nommé membre de l’Institut de France.

 

 

 

 
   
 

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